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Banditi dell'Arte / Martine Lusardy
Titre : Banditi dell'Arte Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Lusardy, Commissaire d'exposition ; Gustavo Giacosa, Commissaire d'exposition ; Gabriele Mina, Auteur ; Daniela Rosi, Auteur ; Jean-Louis Lanoux, Auteur ; Lucienne Peiry, Auteur Mention d'édition : IMP Editeur : Paris : Halle Saint-Pierre Année de publication : 2012 Importance : 1 vol. (278 p.) Présentation : Ill. en coul. / Ill. en noir et blanc Format : 20 x 23,5 cm Note générale : Cet ouvrage est paru à l'occasion d'une exposition qui s'est déroulée à la Halle Saint-Pierre, du 23 mars 2012 au 6 janvier 2013. Langues : Français Anglais Catégories : Art brut -- Italie
Catalogues d'exposition
Halle Saint-Pierre (Paris)Mots-clés : Halle Saint-Pierre artiste d’atelier La Manica Lunga Blu Cammello La Tinaia Asfodelo mario andreoli corrado angiolini fausto badari joseph barbiero orpheo bartolucci maurizio becherini franco bellucci filippo bentivegna salvatore bentivegna BSD moro mario bertolla francesco borrello giovanni bosco vincent brunetti luigi buffo ernesto cacciamani marcello cammi pierluigi cortesia antonio dalla valle giuseppe fornaciari giovanni galli gaetano gambino pietro ghizzardi alberto guindani rosario lattuca eugenio lenzi luigi lineri giuseppe malagoli bonaria manca alessandro massia tarcisio merati oreste fernando nanneti francesco nardi andrea oderda fiorenzo pilia giovanni podesta nello ponzi giulio rancilio marco raugei susanna raveggi melina riccio giuseppe righi giovanni rosselli manuela sagona luigi sapretti frederico saraceni angelo stagnaro francesco toris g. versino ferdinando vigano carlo zinelli art brut art outsider Résumé : 4ème de couverture : "Banditti dell’arte, dans toute sa force poétique, est la première exposition majeure consacrée à la création hors-normes italienne. Aux côtés d’artistes jouissant d’une reconnaissance internationale comme Giovanni Podesta et Carlo Zinelli, l’exposition présente des œuvres provenant des collections historiques psychiatriques et carcérales. Parmi elles, Le Nouveau Monde de Francesco Toris, a sans aucun doute la force d’un paradigme. Sa dimension individuelle, utopique, impérieuse, caractérise l’esprit des bandits de l’art.
Depuis la mise en vigueur de la loi Basaglia en 1978 désinstitutionnalisant l’hôpital psychiatrique, la création marginale a trouvé refuge dans des ateliers protégés tels La Tinaia à Florence, Asfodelo à Parme, Blue Cammello à Livourne ou La Manica Lunga à Sospiro (Crémone). Dans ce cadre, Franco Bellucci, Giovanni Galli, Tarcisio Merati, Francesco Borrello, Marco Raugei, entre autres, ont pu réaliser le miracle de l’œuvre.
Une grande place est faite également aux représentants de l’art populaire contemporain qui, sans procéder de la rupture mentale radicale des auteurs d’art brut proprement dits, sont assez indépendants du système des beaux-arts pour créer une contestation culturelle et institutionnelle. Les portes détournées de Francesco Nardi, les peintures de Pietro Ghizzardi, les sculptures en bois de Rosario Lattuca et de Luigi Buffo, les bas-reliefs en pierre de Nello Ponzi et Joseph Barbiero en sont les témoignages les plus significatifs. Relevant d’une ethnologie imaginaire, le travail de Luigi Lineri, collectant et classifiant systématiquement des pierres, vient ébranler le concept d’installation. En dehors de toute orchestration collective, Giovanni Bosco et Melina Riccio créent leur propre art de la rue, inscrivant sur les murs de la ville leur parole intérieure.
La création spontanée s’exprime également dans les constructions et environnements fantastiques. Impossible à déplacer ou à dupliquer, ils seront présents par des témoignages photo ou vidéo, seuls moyens capables de rendre compte et de conserver la mémoire de ces architectures en plein air."
M.L.Banditi dell'Arte [texte imprimé] / Martine Lusardy, Commissaire d'exposition ; Gustavo Giacosa, Commissaire d'exposition ; Gabriele Mina, Auteur ; Daniela Rosi, Auteur ; Jean-Louis Lanoux, Auteur ; Lucienne Peiry, Auteur . - IMP . - Paris : Halle Saint-Pierre, 2012 . - 1 vol. (278 p.) : Ill. en coul. / Ill. en noir et blanc ; 20 x 23,5 cm.
Cet ouvrage est paru à l'occasion d'une exposition qui s'est déroulée à la Halle Saint-Pierre, du 23 mars 2012 au 6 janvier 2013.
Langues : Français Anglais
Catégories : Art brut -- Italie
Catalogues d'exposition
Halle Saint-Pierre (Paris)Mots-clés : Halle Saint-Pierre artiste d’atelier La Manica Lunga Blu Cammello La Tinaia Asfodelo mario andreoli corrado angiolini fausto badari joseph barbiero orpheo bartolucci maurizio becherini franco bellucci filippo bentivegna salvatore bentivegna BSD moro mario bertolla francesco borrello giovanni bosco vincent brunetti luigi buffo ernesto cacciamani marcello cammi pierluigi cortesia antonio dalla valle giuseppe fornaciari giovanni galli gaetano gambino pietro ghizzardi alberto guindani rosario lattuca eugenio lenzi luigi lineri giuseppe malagoli bonaria manca alessandro massia tarcisio merati oreste fernando nanneti francesco nardi andrea oderda fiorenzo pilia giovanni podesta nello ponzi giulio rancilio marco raugei susanna raveggi melina riccio giuseppe righi giovanni rosselli manuela sagona luigi sapretti frederico saraceni angelo stagnaro francesco toris g. versino ferdinando vigano carlo zinelli art brut art outsider Résumé : 4ème de couverture : "Banditti dell’arte, dans toute sa force poétique, est la première exposition majeure consacrée à la création hors-normes italienne. Aux côtés d’artistes jouissant d’une reconnaissance internationale comme Giovanni Podesta et Carlo Zinelli, l’exposition présente des œuvres provenant des collections historiques psychiatriques et carcérales. Parmi elles, Le Nouveau Monde de Francesco Toris, a sans aucun doute la force d’un paradigme. Sa dimension individuelle, utopique, impérieuse, caractérise l’esprit des bandits de l’art.
Depuis la mise en vigueur de la loi Basaglia en 1978 désinstitutionnalisant l’hôpital psychiatrique, la création marginale a trouvé refuge dans des ateliers protégés tels La Tinaia à Florence, Asfodelo à Parme, Blue Cammello à Livourne ou La Manica Lunga à Sospiro (Crémone). Dans ce cadre, Franco Bellucci, Giovanni Galli, Tarcisio Merati, Francesco Borrello, Marco Raugei, entre autres, ont pu réaliser le miracle de l’œuvre.
Une grande place est faite également aux représentants de l’art populaire contemporain qui, sans procéder de la rupture mentale radicale des auteurs d’art brut proprement dits, sont assez indépendants du système des beaux-arts pour créer une contestation culturelle et institutionnelle. Les portes détournées de Francesco Nardi, les peintures de Pietro Ghizzardi, les sculptures en bois de Rosario Lattuca et de Luigi Buffo, les bas-reliefs en pierre de Nello Ponzi et Joseph Barbiero en sont les témoignages les plus significatifs. Relevant d’une ethnologie imaginaire, le travail de Luigi Lineri, collectant et classifiant systématiquement des pierres, vient ébranler le concept d’installation. En dehors de toute orchestration collective, Giovanni Bosco et Melina Riccio créent leur propre art de la rue, inscrivant sur les murs de la ville leur parole intérieure.
La création spontanée s’exprime également dans les constructions et environnements fantastiques. Impossible à déplacer ou à dupliquer, ils seront présents par des témoignages photo ou vidéo, seuls moyens capables de rendre compte et de conserver la mémoire de ces architectures en plein air."
M.L.Réservation
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