Titre : | Dubuffet architecte | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Daniel Abadie, Auteur | Editeur : | Paris : Éditions Hazan | Année de publication : | 2011 | Importance : | 1 vol. (191 p.) | Présentation : | Ill. en noir et blanc / Ill. en coul. | Format : | 24 x 28 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7541-0536-1 | Note générale : | Cet ouvrage explore de manière chronologique le travail architectural que Jean Dubuffet a déployé entre 1965 et 1974, au sein de son étonnant cycle de l’Hourloupe. Le livre a été publié à l’occasion d’une exposition consacrée à ce pan du travail de Dubuffet. L’évènement s’est déroulé successivement au Henie Onstad Kunstsenter en Norvège (2011), au Skissernas Museum en Suède (2011) et enfin au Musée d’Ixelles à Bruxelles (2011-2012).
| Langues : | Français | Catégories : | Dubuffet, Jean (1901-1985) Sculpture Sculpture monumentale
| Mots-clés : | Jean Dubuffet sculpture sculpture monumentale L'Hourloupe | Résumé : | 4ème de couverture : « Dubuffet architecte ». Une telle formule peut paraître surprenante, voire provocante. Si chacun s’accorde à reconnaître en Dubuffet l’un des peintres majeurs de la seconde moitié du XXe siècle, seuls quelques-uns connaissent aussi ses « expériences musicales » ou cette dimension architecturale qui se développa pendant la période de l’Hourloupe (1962-1974) et valut à Dubuffet en 1982 la médaille de The American Institute of Architects.
De la commande en 1965 par André Malraux, alors Ministre des Affaires culturelles, de deux peintures monumentales pour la Faculté de Nanterre jusqu’à le construction de la Villa Falbala ce livre retrace le cheminement de l’artiste, de la peinture au relief, puis à la sculpture et à cette architecture unique qui, avec ses creux et ses reliefs, ses grands tracés noirs qui contredisent la lecture des surfaces, enseigne que toute réalité – matérielle comme le Groupe de quatre arbres de Chase Manhattan Bank à New-York et Villa Falbala ou virtuelle comme la peinture – est illusion et que le déchiffreur, écrit Dubuffet, y est comme « un poisson qui entreprendrait de sécréter lui-même l’eau dans laquelle il nage, et dont il s’alimente, qui ferait de sa propre sécrétion son habitat et sa nourriture. »
|
Dubuffet architecte [texte imprimé] / Daniel Abadie, Auteur . - Paris : Éditions Hazan, 2011 . - 1 vol. (191 p.) : Ill. en noir et blanc / Ill. en coul. ; 24 x 28 cm. ISBN : 978-2-7541-0536-1 Cet ouvrage explore de manière chronologique le travail architectural que Jean Dubuffet a déployé entre 1965 et 1974, au sein de son étonnant cycle de l’Hourloupe. Le livre a été publié à l’occasion d’une exposition consacrée à ce pan du travail de Dubuffet. L’évènement s’est déroulé successivement au Henie Onstad Kunstsenter en Norvège (2011), au Skissernas Museum en Suède (2011) et enfin au Musée d’Ixelles à Bruxelles (2011-2012). Langues : Français Catégories : | Dubuffet, Jean (1901-1985) Sculpture Sculpture monumentale
| Mots-clés : | Jean Dubuffet sculpture sculpture monumentale L'Hourloupe | Résumé : | 4ème de couverture : « Dubuffet architecte ». Une telle formule peut paraître surprenante, voire provocante. Si chacun s’accorde à reconnaître en Dubuffet l’un des peintres majeurs de la seconde moitié du XXe siècle, seuls quelques-uns connaissent aussi ses « expériences musicales » ou cette dimension architecturale qui se développa pendant la période de l’Hourloupe (1962-1974) et valut à Dubuffet en 1982 la médaille de The American Institute of Architects.
De la commande en 1965 par André Malraux, alors Ministre des Affaires culturelles, de deux peintures monumentales pour la Faculté de Nanterre jusqu’à le construction de la Villa Falbala ce livre retrace le cheminement de l’artiste, de la peinture au relief, puis à la sculpture et à cette architecture unique qui, avec ses creux et ses reliefs, ses grands tracés noirs qui contredisent la lecture des surfaces, enseigne que toute réalité – matérielle comme le Groupe de quatre arbres de Chase Manhattan Bank à New-York et Villa Falbala ou virtuelle comme la peinture – est illusion et que le déchiffreur, écrit Dubuffet, y est comme « un poisson qui entreprendrait de sécréter lui-même l’eau dans laquelle il nage, et dont il s’alimente, qui ferait de sa propre sécrétion son habitat et sa nourriture. »
|
|  |